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De la technique | Les
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Vous trouverez dans cette page les articles
suivants :
- la symbolique des couleurs..........................
- les couleurs et les associations de couleurs
- les types de peintures...................................
- la préparation des
supports..........................
- les effets: des simples
aux complexes......... |
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Les aménagements
spéciaux (escaliers, cheminées, bassins, fontaines, niches, vitrines,
espaces verts, ...) sont abordés dans les pages les styles et nos recherches.
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LA
SYMBOLIQUE DES COULEURS, EN BREF
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COULEUR
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SYMBOLIQUE
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EFFET
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pureté, virginité, vertue,
chasteté, yang.
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propreté, clareté,
fidélité,
sobriété.
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nuit, fertilité,
mélancolie, indépendance, culpabilité, élégance, mystère,yin.
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luxe, affirmation,
détermination, fête.
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équilibre, neutralité,
juste milieu, calme, immortalité.
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repos, appaisement.
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passion, optimisime,
vigueur, conquête, combat, sexualité.
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chaleur, dynamisme,
excitation.
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divin, stabilité,
immortalité, loyauté, justice, tolérance, générosité, bonté.
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calme, tendresse, repos.
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lumière, richesse, estime,
confiance, intuition, pouvoir, raffinement.
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joie, dynamisme, énergie.
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espérance, renouveau,
pureté, vigueur, charité, nature, le bio.
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calme, équilibre, repos.
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maturité, union,
soumission, fusion, mélancolie, tendresse.
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dignité, mélancolie.
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enfance, féminin,
séduction, amour, pureté, fidélité.
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calme, douceur.
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terre, matérialité.
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confort, toucher, sécurité.
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dynamisme, joie, expansion,
innovation, jouissance.
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stimulant.
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LES
COULEURS ET LES ASSOCIATIONS
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LE
CERCLE CHROMATIQUE:
Le cercle
chromatique est composé de 3 niveaux depuis sont centre:
- au centre les couleurs primaires: rouge, bleu, jaune, celles que l'on ne peut
pas fabriquer par mélange.
- juste après les couleurs
secondaires, composées par mélange
à part égale des couleurs primaires. Ce sont les couleurs: violet,
vert, orange.
- sur le cercle extérieur, les couleurs
tertiaires,
composées à partir de la couleur primaire et de la couleur secondaire,
toujours à part égale. Ce sont des couleurs dont les noms ne sont pas
vraiment définis, et qui font plus partie de la "mode".
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LES
VARIANTES COMPOSENT DES VARIATIONS CHROMATIQUES DE NUANCIER
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Le
nuancier de référence:
PANTONE
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Les
autres nuanciers, que l'on trouve un peu partout, ne sont qu'un extrait
lié à une gamme de couleur des fabricants. Mais il existe une norme qui
est RAL xxxx, c'est elle qui référence chacune des couleurs. La
correspondance réelle
n’est jamais indiquée.
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Chaque année une gamme de
couleurs influence la population dans sa mode
vestimentaire, mais aussi tout le reste, les emballages, l'intérieur,
la publicité, etc, et
donc les couleurs possibles des intérieurs qui sont mises en avant dans
les magasins, les revues, les émissions de tv ...
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Faut-il se laisser influencer par la mode
qui ne dure que 6 mois à un an ou penser sur une période plus longue ? |
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NOS
REGLES :
- dans une
pièce éviter de trop charger en différentes couleurs, au maximum 3
couleurs,
- dans une
pièce une déclinaison en variantes d'une couleur s'intègre bien,
- éviter les
couleurs primaires qui sont vraiment trop rudes avec le temps et qui
fatiguent les yeux,
- éviter les
couleurs secondaires qui manquent de travail (ce sont encore des bases),
-
privilégier les couleurs tertiaires et leurs déclinaisons,
- penser à des
surfaces qui réfléchiront la lumière et donc composer en fonction des
entrées de lumière,
- éviter un plafond
de couleur foncée qui écrasera la pièce,
- éviter un mur
trop tranché avec le reste car il réduira la pièce,
- éviter les
grandes surfaces brillantes et réserver la brillance à des
particularités laquées au pinceau,
- penser au
jonction des pièces et à l'harmonie de l'ensemble du lieu, passer d'une
pièce rouge à une bleue, peut être intéressant pour certaines personnes
et certains lieux qui s'y prètent, mais l'important est de réfléchir
aux ouvertures. Une porte peinte qui reste ouverte ou qui s'ouvre dans
une pièce dont la couleur n'est pas compatible choquera à chaque
passage. Il faut donc bien voir les conséquences des choix initiaux.
- penser
aussi à la revente d'un lieu, en restant dans une gamme qui plaira à la
majorité.
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Les
couleurs différentes qui s'associent bien sont dites
complémentaires.
On les retrouvent en opposition sur le cercle
chromatique.
pourquoi
ça ? en fait c'est très simple et c'est indirectement une harmonie
spectrale, si on regarde bien, par exemple, en face du
jaune on a le violet, et le violet est la somme du rouge et du bleu,
ainsi on a toutes les couleurs et donc tout le spectre visible,
puisqu'à
la base, ce sont les couleurs primaires qui sont à l'origine de tout.
rappel
d'expérience que l'on fait dans les écoles primaires: sur un disque on
colore des secteurs du disque de largeur égale, avec toutes les
couleurs dont on dispose, puis on fait tourner le disque comme une
toupie. La couleur émise par le disque c'est le blanc, enfin presque
(alors qu'aucun secteur du disque n'est blanc), presque, parce qu'on a
pas mis toutes les couleurs. L'arc en ciel est bien la décomposition de
la lumière presque blanche du soleil.
ce
qu'il faut retenir des "couleurs" qui n'en sont pas:
- le
blanc est la somme de toutes les couleurs qui existent et rayonne dans
tout le spectre,
- le noir ne rayonne aucune couleur, il absorbe le rayonnement.
en termes pratiques comparables:
- porter des vêtements blanc en plein soleil est préférable car il
renvoit le rayonnement,
- un réservoir d'eau peint en noir, exposé au soleil permet bien de
récupérer le rayonnement.
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LES
TYPES DE PEINTURES
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La
peinture est peut être le plus ancien élément décoratif depuis que
l’homme se sert de ses mains. Les peintures rupestres sont si belles
qu’elles feraient encore aujourd’hui une décoration d’intérieur
originale et très prisée..
Il
est difficile de définir actuellement ce qui est peinture et ce qui ne
l’est pas. Il y a de plus en plus d’associations de matériaux avec la
peinture, qui font que celle-ci devient un enduit mural. Il faut donc
définir une limite, et les fabricants, dans ce dernier cas ne mettent
plus le simple mot peinture sur les pots de ces assemblages. On trouve
des appellations dans le style « peinture sablée » pour garder les prix
des peintures.
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REDEFINISSONS LA PEINTURE
Une peinture est un revêtement décoratif
liquide et opaque qui assure en même temps une protection pour le
support.
La peinture est
un assemblage de divers composants liquides et solides.
La base est un liquide liant
dont il existe plusieurs sortes : naturel ou de synthèse comme l’huile
de lin, la résine glycérophtalique (huile modifiée par un acide gras),
la résine alkyde (alcool et glycol), le polyuréthane. La quantité de
liant définit le rendu final, qu’il soit brillant, satiné ou mat
(presque mat). C’est le produit qui assure le passage de la phase
liquide à la phase solide après évaporation des solvants et diluants.
Le liant est généralement épais, on le
modifie avec un
solvant
d’origine naturelle et travaillée, pétrolière ou autre comme de l’eau.
Ce solvant permet deux choses, dissoudre des composants et étaler plus
facilement le produit en le diluant. Il est directement responsable de
l’aspect fini. Ce solvant s’évaporera plus ou moins vite en fonction
des conditions d’usage (température, circulation d’air).
Au solvant est ajouté un diluant.
Trop de diluant, la peinture sera lessivée et transparente, pas assez
de diluant, les traces de l’outil employé seront plus marquées
(pinceau, rouleau …). Le diluant, contrairement au solvant, ne dissout
pas le liant, il fluidifie la peinture. Certains diluants sont des
solvants comme l’eau.
La couleur est obtenue par un mélange de
pigments
d’origine très souvent minérale ou encore organique. Le pigment est
broyé en poudre très très fine qui ne permet pas de sentir le grain au
toucher. La quantité de pigment doit être suffisante pour assurer
l’opacité de la couche, sinon on a un glacis ou un vernis teinté.
Cette base s’enrichit parfois d’additifs ou
adjuvants
qui permettent d’accélérer la prise (les siccatifs), ou encore
d’apporter une
protection quelconque comme par exemple pour les insectes, ou encore
afin
d’avoir des effets comme des répulsifs qui vont créer des marbrures
régulières etc,
Dans de nombreuses peintures, surtout les
peintures en bacs rectangulaires, on ajoute des « charges
» qui réduisent le coût tout en ventant des résultats spécifiques, et
en alourdissant le volume qui donne l’impression d’en avoir une grosse
quantité lorsqu’on saisit le pot. Mais si la proportion de charges est
trop grande, la peinture n’est plus vraiment une peinture.
Le résultat final, après séchage se nomme,
en terme technique le feuil.
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Les
peintures disponibles
sur le marché
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Il
est très difficile de connaître la composition exacte d’une peinture.
Elle n’est pas indiquée sur le pot. On a l’information de base comme sa
nature à l’huile, glycérophtalique, polyuréthane, acrylique, … La
composition réelle est souvent un secret de fabrication qui a fait la
réputation de marques industrielles ou de marques du domaine public. En
revanche, les précautions d’usage sont toujours présentes par
obligations légales.
Les
peintures les plus courantes sont les peintures acryliques dont le
liant est une résine acrylique et les peintures glycérophtaliques dont
le liant est une résine glycérophtalique.
-
Une résine acrylique est produite à partir de la polymérisation en
émulsion ou dispersion de divers produits entrant dans la catégorie des
acryliques.
-
Une résine glycérophtalique est produite à partir l’estérification de
la glycérine. C’est un alkyde modifié aux huiles siccatives ou aux
acides gras d’huiles siccatives.
Ces liants ne sont pas forcement liés à
l’eau pour le premier et à un solvant de synthèse pour l’autre.
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Souvent on
associe peinture
à l’eau à peinture écologique, mais si en effet elle à
l’avantage d’être à l’eau et ne pas sentir, elle contient des
produits pas très écologiques et très dangereux comme les glycols.
Il n’est donc pas facile de s’en protéger.
La
peinture dite à l’huile utilise de plus en plus le white-spirit en
diluant. Même si l’odeur est forte, il est plus facile de s’en protéger
en générant un courant d’air. Les autres diluants sont rares car
nettement plus dangereux.
Il
n’y a pas de peinture totalement naturelle et totalement écologique,
car si le liant l’est comme l’huile de lin, le solvant est souvent
d’origine pétrolière.
La norme NF environnement n’exclue pas tout car ce ne serait
plus de la peinture mais plutôt un enduit mural. Elle autorise des produits
toxiques.
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Les
fausses idées
sur les peintures
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LE
CHOIX D'UNE PEINTURE
La
peinture acrylique, le pour et le contre :
Le pour :
- très peu odorante, c’est vrai, mais les
choses sans odeurs ne sont pas forcement les moins dangereuses,
- le nettoyage est facilité sous le
robinet, c’est incontestable,
- la rapidité du séchage, c’est un atout
majeur qui peut avoir l’avantage d’une mise hors poussières rapidement,
-
non toxique, là c’est une vraie fausse idée car elle comporte des
produits dangereux pour la santé à long terme comme les COV (composés
organiques volatiles cancérigènes),
- écologique, disons un peu moins
polluante. Il y a en a qui répondent à la norme NF environnement.
- la couleur est stable dans le temps,
elles ne jaunissent pas.
Il
faut veiller au lieu d’application possible de ces peintures, car
toutes ne résistent pas à l’eau de lessivage ou aux intempéries à
l’extérieur. Nous conseillons de les éviter dans les pièces d'eau.
|
Le contre :
-
il faut travailler très vite pour minimiser les défauts de raccords En
général c’est impossible de les éviter sur de moyennes ou grandes
surfaces. La seule méthode pour éviter ces raccords c’est de faire des
bandes comme on le voit dans les émissions de déco.
- la peinture ne tire pas donc l’état de
surface ne s’arrange pas de lui-même durant le séchage.
- Il faut souvent appliquer une couche
primaire pour garantir l’accrochage dans de bonnes conditions de
durabilité.
-
Malgré le label NF environnement, ces dernières peuvent être toxiques
pour l’homme et le rendre stérile par la présence d’éthers de glycols.
Il faut donc éviter le contact avec la peau, et quand même ventiler les
locaux.
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La
peinture glycérophtalique, le pour et le contre :
Le pour :
- une grande facilité d’application sur de
nombreuses surfaces,
- le travail est plus souple car le temps
de prise est plus long,
- pas d’effet de rouille à craindre sur
des surfaces ferreuses,
- un primaire n’est pas obligatoire,
- un diluant odorant, le white-spirit,
mais effet pathogène reconnu,
- un fini tendu qui corrige les traces de
rouleau ou de pinceaux,
- une toxicité réelle et reconnue par ses
vapeurs mais qui ne provoque pas de stérilité.
Le contre :
- l’odeur caractéristique des solvants et
diluants,
- la lenteur de prise après le temps dit
de sec au toucher.
-
Des couleurs qui peuvent jaunir, en particulier le blanc qui peut
cependant redevenir blanc ou le rester s’il est exposé à la lumière du
jour.
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La
peinture à émulsions :
Ce sont les peintures à base d’eau qui
nécessitent de disperser une charge contenue dedans.
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La
peinture bio :
La
peinture bio est encore une chimère et rien ne permet de vraiment
savoir si c’est une peinture bio. A la limite la vraie peinture bio,
c’est la peinture médiocre qui contient une grande quantité de charges.
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La
norme NF environnement et l’écolabel
Cette norme
relève de l’organisme AFNOR et concerne, pour ce sujet, les peintures
et les vernis.
Elle correspond à des critères écologiques stricts qui définissent les
conditions de processus de fabrication, la composition, ainsi que
l’émission de composés organiques volatils (COV)
L’écolabel
(règlement CEE 880/92 du 23 mars 1992) est accordé à un produit qui ne
détruit pas l’environnement durant tout son cycle de vie.
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LE
CHOIX DE LA BRILLANCE FINALE
Il y
a toujours 3 possibilités : mate, satiné, brillant
-
L’aspect mat s’adapte à de grandes surfaces et estompe de façon
conséquente les défauts,
-
L’aspect satiné apporte un beau fini sur une surface bien préparée,
-
L’aspect brillant ne souffre d’aucun défaut, il se décline en laque.
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LA
PREPARATION DES SUPPORTS
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Dans
la page
GALERIES
voir aussi
NOTRE
QUALITE
DE
FINITION
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Dans la page Galeries,
nous abordons l'état fini du travail, en donnant quelques astuces pour
permettre de contrôler les travaux effectués. Apprécier le travail est
déterminant, cela aiguise votre
oeil critique.
Mais en retour, on ne peut pas demander le maximum en cherchant la
rapidité d'exécution et le prix le plus bas. L'important est de savoir
reconnaitre le travail en fonction du choix d'investissement.
Comme nous
l'avons déjà dit:
vite
fait, bien fait, et pas cher c'est incompatible.
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La
phase travaux, donne toujours l'impression d'aller vite: "c'est des pro
...". En réalité c'est la part visuelle qui permet chaque jour de
constater une avancée. Même si le travail doit impérativement être bien
fait et bien pensé, ce n'est pas la partie complexe et minutieuse de
l'ouvrage.
La
préparation des supports est la phase la plus longue, celle qui ne
semble jamais avancer en fin de journée, et qui fait dire à un client
"ils n'on rien fait aujourd'hui", et pourtant, c'est la part épuisante
qui nécessite de s'appliquer et qui fait appel à tous les sens. C'est
un travail qui se fait dans le calme et en continu.
La préparation est capitale pour la
finition.
Une bonne préparation de support à peindre,
c'est:
- amener le support dans la forme exacte
qui a été définie sur papier ou d'un commun accord,
- travailler les surfaces pour leur donner
la forme la plus parfaite possible,
- respecter les surfaces, les angles, les
courbes,
-
utiliser les bons matériaux (support lors des travaux, de charge pour
donner la forme, de finition pour amener les surfaces à l'idéal pour la
peinture),
- corriger par de multiples reprises les
défauts, les aspérités.
Mais c'est aussi une étape de plus
entre la finition par l'application de la peinture finale (quel que
soit le nombre de couches prévues), quelle soit unie, à effet ou encore
plus travaillée. Cette dernière étape consiste à imprégner le
support de façon à ce que la finition ait des "racines" dans le
support. C'est le cas pour les peintures de type glycérpohtaliques.
Après cette couche d'imprégnation, la surface est à
nouveau enduite avec un enduit gras glycérophtalique, puis poncée à sec
ou à l'eau.
Cette technique d'imprégnation est utilisée dans les fresques qui se
travaillent par petites surfaces. Cela donne la tenue dans le temps.
En
ce qui concerne les peintures acryliques modernes, à la différence des
peintures dites à l'huile, il faut utiliser un peinture d'accroche en
sous couche. C'est un paliatif.
La dernière phase
est le nettoyage le plus parfait possible
jusqu'à attendre que la poussière dans l'air soit minimale.
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LES
EFFETS: DES SIMPLES AUX COMPLEXES
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Abandonnées
durant la seconde moitié du 20e siècle, au profit des papiers peints
qui bien souvent les imitent, les peintures à effets retrouvent leur
lettre de noblesse. Mais jamais elles ont été oubliées dans les
intérieurs luxueux, les lieux de spectacles comme les théatres..
Les
peintures à effets anoblissent les surfaces
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DIVERSITE
DES EFFETS OBTENUS
Les effets
sont sans limite, et ne dépendent que de l'imagination des
utilisateurs, qu'ils soient peintres en bâtiment, décorateurs, artistes.
L'utilisation
de la peinture est aussi une question de mode. Après avoir été
l'élément principal de la décoration intérieure. Elle n'a été employée,
durant de nombreuses années, au 20e siècle, que comme moyen de
protection coloré pour accompagner d'autres revêtements muraux comme le
papier peint qui en est une imitation moins onéreuse. Depuis peu, on
redécouvre les possibilités qu'elle offre.
Le
travail
avec la peinture va de la simple couleur uniformément répartie, à la
fresque murale qui demande un savoir-faire trè précis et un doigté
artistique.
LA
LIMITE ENTRE PEINTURE A EFFET ET ENDUIT
Il est
difficile de définir la limite entre une peinture appliquée en
plusieurs fois et par différentes techniques, différents moyens, et un
enduit décoratif.
Notre
définition de limite de catégorie: l'usage d'une taloche ou une spatule
définit un enduit.
LES
EFFETS DE SURFACE ET LES SURFACES DETAILLEES
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Un
effet peut se décliner sur toute une surface, comme son imitation le
papier peint. Il y a, dans une certaine mesure, une régularité, mais
qui n'est pas mécanique, et c'est là, la grosse différence.
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Un
effet peut se travailler dans le détail, à partir d'un fond finement
préparé. Dans ce cas, les détails peuvent être répétés comme un pochoir
ou de façon unique dans une mise en scène.
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LES
EFFETS DE PEINTURE DEVIENNENT DE L'ART
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LA
PEINTURE A L'EPONGE
La peinture à l'éponge se
fait à partir d'un fond uniforme, sur lequel s'applique plusieurs
couches de peinture, en tapotant la surface avec une éponge naturelle
imbibée. Sur le fond uniforme, pour donner de la profondeur au motif,
il est préférable de finir avec la couleur la plus claire. La technique peut se faire
par apport de peinture, ou par retrait en épongeant.
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LA
PEINTURE AVEC UN TISSU
Comme pour l'éponge,
l'effet peut être obtenu par retrait à l'aide d'un chiffon structuré ou
non. Un chiffon structuré donnera de la trame sur le mur, à partir
d'une base fraîche de peinture ou de glacis, appliqué sur un fond
uniforme. Le chiffon peut être bien plié et tramé, en vrac, ou roulé
comme un tissu à essorer. L'effet s'obtient en tapotant ou en essuyant.
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LA
PEINTURE MOUCHETEE
C'est aussi une méthode
qui se pratique par retrait en tapotant avec une large brosse sur une
surface encore fraîche. L'effet est un rendu fin de type pointillisme.
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LA
PEINTURE A LA BROSSE
A l'aide d'une brosse
bien pourvue en poils, on crée:
- un effet fibreux qui
s'apparente aux fibres d'un bois,
- une trame en croisant
les sens,
- un effet fouetté qui
destructure le fond de façon anarchique,
- d'autres effets peuvent
se faire, c'est une question d'imagination.
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LA
PEINTURE AU PEIGNE
Le peigne est une sorte
de spatule souple avec une trame qui permet de réaliser des effets de
rayures et de courbes. Ce style débouche sur des finitions qui peuvent
ressembler à différentes essences de bois.
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LA
PEINTURE PROJETEE
Sur un
fond uniforme, le projeté s'obtient de diverses manières à l'aide d'une
brosse plus ou moins grosse, et plus ou moins chargée en peinture. La
charge détermine la taille des gouttelettes projetées. Plusieurs
couleurs associées donnent un effet de finesse et de profondeur.
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LA
PEINTURE AU POCHOIR
Très connue de tous, et
facile à réaliser à partir d'un carton ou d'une feuille en plastique,
un motif évidé, sert à tamponner en une ou plusieurs fois des peintures
sur un fond fini. L'emplacement de pose des pochoirs est libre avec la
possibilité de créer des effets structurés ou non.
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LA
PEINTURE AU TAMPON
C'est une
impression positive en opposition au pochoir. Un tampon se fabrique à
la demande et permet d'imprimer un motif répétitif sur une surface. Il
peut être appliqué de façon régulière ou non.
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LA
PEINTURE LAQUEE
La vraie laque de type
asiatique résulte d'une multitude de couches passées et séchées sur
environ un mois, puis poncées finement et sculptées pour incruster des
remplissages d'autres peintures, de l'or ou de la nacre. Un effet de
laque s'obtient de la même manière en multpliant les couches de
peintures et en ponçant régulièrement.
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LE
CRAQUELE
Le craquelé imite la
faïence ancienne craquelée. Cet effet s'obtient en passant les
couches sur un primaire non encore sec. Les facteurs comme: l'épaisseur
des couches, la température, le temps d'application, le séchage,
influencent le rendu final.
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LES
PATINES
La patine
est un effet pour imiter le temps qui passe et qui détériore un
support. Il est obtenu artificiellement à l'aide de divers produits et
procédés qui imitent l'usure d'une peinture, les frottements sur les
arrêtes, les anciennes couches de rénovation, une oxydation des métaux.
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LA
DORURE
Les feuilles de métal
(or, argent, cuivre, aluminium, ...) peuvent créer un effet sur un mur
soit en respectant la taille initiale des feuilles, soit en créant un
motif dessiné avec la colle spécifique et en transférant le métal sur
la colle. Les rendus sont nombreux. L'emploi d'émulsions à
base de poudres métalliques donnent aussi de bons effets.
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LA
FAUSSE PIERRE
L'objectif est de créer des
imitations de pierres naturelles utilisées en intérieur, comme le
marbre ou le granit. Ce travail est très long et nécessite de
nombreuses reprises. L'idéal est de s'inspirer d'échantillons de
pierres. Cette gamme d'effets est vaste en structures et en coloris. Il
est préférable de la réserver à des particularités d'une pièce pour une
mise en valeur sophistiquée sans abuser.
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LE TROMPE L'OEIL
C'est une
oeuvre artistique qui donne un effet, vu de loin, comme une fenêtre,
une porte ouverte sur un jardin. C'est assimilable à une fresque
murale, mais avec une représentation très proche de la réalité.
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LA
FRESQUE
Les plus belles sont
celles des Maîtres de l'histoire. C'est l'ornement le plus travaillé en
peinture et les motifs sont variés: des représentations de scènes
religieuses, de chasses, de la vie, surréalistes, de fictions, ou
érotiques.
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